Des moyens pour les services de psychiatrie en Val-d’Oise !

Ce jeudi 7 mars, j’ai interrogé le gouvernement sur la situation de la psychiatrie et plus précisément de la pédopsychiatrie dans le département du Val-d’Oise.

Les personnels manquent et les délais de consultations explosent. Cela met en danger la continuité de ce service public essentiel, érigé comme une priorité par le gouvernement. Les priorités annoncées ne correspondent pas aux réalités de terrain.

Pierre Barros interroge le gouvernement sur la situation de la pédopsychiatrie en Val-d’Oise

La ministre Fadila Khattabi a apporté une réponse largement insatisfaisante, une impression confirmée par les représentants des personnels de santé des hôpitaux d’Argenteuil et de Cergy-#Pontoise présents lors de la séance.

L’absence de moyens met en danger des milliers de jeunes, abandonnés du jour au lendemain sans prise en charge. Ces choix laissent sur le carreau une population précaire, qui ne peut s’offrir un parcours de soins dans le privé faute de moyens financiers suffisants.

Je serai particulièrement vigilant à ce que l’État n’abandonne pas ces jeunes et les personnels.

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